Hight Rise Fever
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2010 Hight Rise Fever The Honeymen  
       
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Production :
Autoproduction
004
 
 
Musiciens :

Titres :
1- 1 : High Rise Fever 04:13

1- 2 : I Hate To See You Go 03:26
Marion Jacobs
1- 3 : I'm Leaving You Baby 03:50

1- 4 : Tell Me Pretty Mama 03:02

1- 5 : I Walk Down The Road 03:33

1- 6 : Two Time Woman 03:26

1- 7 : Fourty Four Blues 03:43

1- 8 : Hello Miss Jessie Lee 03:26

1- 9 : Walkin' Around Here In Circles 03:35

1- 10 : Little Girl 02:50

1- 11 : Death Bell 04:09

1- 12 : I'd Rather Deal With The Devil 03:20

1- 13 : Lightnin' Rocket 03:04

Commentaires :
Mad Man (07-02-2011)
Elmore et Jimmy Jazz, sont les délicieux armateurs d’un blues aux saveurs southtern influencé par les riffs de Slim Harpo, de RL Burnside ainsi que de biens illustres blues men d’avant guerre.





Leurs adaptations de standards de Little Walter, de Lightnin’ Hopkins ou de Roosevelt Sykes gardent cette même couleur, muddy et très Shake your hips, chère à mon coeur.





Le packaging de l’album est fortement Hoo doo et fidèle à l’esprit de l’histoire des Jazz’s brother.





Lors d’une première écoute, on peut penser à un bis repetita de leurs précédentes forfaits audio. En creusant brique après brique, tunnel après tunnel, on découvre des sensibilités nouvelles, des affirmations garanties, donc parfois de la rengaine, mais aussi une revisite de standards ou des nouvelles compos fidèles à leur vision subjective du blues. Ils sont assez subtils, ces becs à miel, pour parfois faire glisser des choses infimes dans des évidences imperceptibles.





Néanmoins, l’on attend d’eux plus de ressources, de surprises à l’avenir. High rise fever, Death bell, I’d rather deal with the devil ou Lighnin’ rocket restent néanmoins des belles pièces de leur cru.





Album à consommer avec un brin de paille entre les incisives ou, un cure-dent si on n’a pas de brin de paille sous le main. Tout autre ustensile faisant office d’objet à se mettre dans la boite buccale est également possible. Toutefois, cette dernière remarque ne constitue en rien une injonction à se fourrer un truc entre les crocs, sauf si l’envie vous en prend. C’est vous qui voyez…
 
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