Muddy Waters
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2010 Muddy Waters Marc Minelli  
       
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Production :
Autoproduction
 
 
Musiciens :

Titres :
1- 1 : Muddy Waters 03:05

1- 2 : Hipshaking Liquors 04:04

1- 3 : Take Me To America 03:30

1- 4 : I Wanna Bop 03:02

1- 5 : Crazy Jane 04:15

1- 6 : Angel 04:56

1- 7 : Mr Dynamite 02:54

1- 8 : Mad About You 03:32

1- 9 : Howlin' 04:52

1- 10 : Celebrate 05:27

Commentaires :
Mad Man (18-12-2010)
Le blues est-il le seul apanage des blues men ? Peut-on revendiquer l’estampille blues si l’on est influencé par Primus, David Bowie, Devo ou les Neandertal Comets ?


Ici, point de : Tapez 1 si on approuve, de, tapez 2 si on n’est pas d’accord ou de, tapez 3 si on ne se rappel plus de la question.


En gros ne tapez rien, parce que la réponse n’est point de celle que je tinsse comme dûment objective, au regard de la controverse que ce présent support puisse, peu ou prout suggérer. Cela ne va pas plaire à tout le monde.


De demander à Marc Minelli de faire du blues comme tout le monde, c’est comme de demander à R.L. Burnside d’enregistrer Rollin’ and Tumblin’ sans Kid Rock ou sans Rob Zombie : Bref, c’est pas possible.


La teneur esthétique de cet album Tech-blues est tout autant shuffle-beat qu’électro-swamp. Ce Muddy waters est au blues, ce que les Beasty Boys sont au Rap ; Comme une Intervision relativiste et subjective d’une probable tension blues, mais dans un contexte plus urgent qu’historique (Pardon, j’ai trop lu Philippe Manœuvre !).


C’est terriblement efficace, sensuel, tubesque et chaud comme il faut. L’œil de Soron te regarde, le Mordore mène la danse.


10 Titres à écouter par les accrocs de rock, par les pro pop pas propre ainsi que par les curieux du blues. Spécial écoute d’urgence pour Hipshaking liquors, #2 du CD, une pure folie électro-blues sur fond de T. Model Ford sous montée de vapeur de laque Loréal. Juste pour les purs d’un autre monde.
 
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